C’est la 3ème infographie sur le thème de l’impacte de l’informatique sur nos capacités cognitives. Je vous invite ainsi à relire au passage ces 2 articles pour vous rafraichir la mémoire : LES EFFETS DES JEUX VIDÉOS SUR NOTRE CERVEAU LES JEUX VIDÉO FAVORISENT L’APPRENTISSAGE À L’ÉCOLE L’infographie du jour, reprend de manière synthétique (mais un peu capilotractée je pense) les effets des réseaux sociaux et de Facebook en particulier sur notre cerveau…
C’est la 3ème infographie sur le thème de l’impacte de l’informatique sur nos capacités cognitives.
Je vous invite ainsi à relire au passage ces 2 articles pour vous rafraichir la mémoire :
Je vous invite ainsi à relire au passage ces 2 articles pour vous rafraichir la mémoire :
L’infographie du jour, reprend de manière synthétique (mais un peu capilotractée je pense) les effets des réseaux sociaux et de Facebook en particulier sur notre cerveau… Ainsi, les différents évènements, interactions ou notifications qui se produisent sur ces réseaux (tels que des abonnement à nos comptes, des demandes d’amis, des échanges, des RT,…) provoqueraient (je parle toujours au conditionnel) une décharge de dopamine dans une zone particulière du cerveau appelée circuit de la récompense.
Pour vulgariser un peu le phénomène, cette zone est notamment stimulée lorsque nous assouvissons des besoins vitaux (étancher la soif ou la faim, orgasme,…) mais c’est également cette zone du cerveau qui est la cible privilégiée de certaines substances psychoactives adictogènes (qui rendent dépendant quoi) telles que le crack, l’héroine, mais aussi la nicotine.
A terme, le cerveau assimile ces notifications sur Facebook à un “besoin vital”, qu’il faut assouvir sous peine de manque… Hein que c’est capilotracté ?!… ;-)
Pour vulgariser un peu le phénomène, cette zone est notamment stimulée lorsque nous assouvissons des besoins vitaux (étancher la soif ou la faim, orgasme,…) mais c’est également cette zone du cerveau qui est la cible privilégiée de certaines substances psychoactives adictogènes (qui rendent dépendant quoi) telles que le crack, l’héroine, mais aussi la nicotine.
A terme, le cerveau assimile ces notifications sur Facebook à un “besoin vital”, qu’il faut assouvir sous peine de manque… Hein que c’est capilotracté ?!… ;-)
En plus de l’addiction, il semblerait que Facebook agit de manière encore plus insidieuse, en étant impliqué dans certains désordres de la personnalité et en altérant voir en atrophiant certaines zones du cerveau (j’en étais sur ;-).
Ce qui est marrant c’est que statistiquement, à partir de 229 fans/amis Facebooks, le cortex orbital préfrontal (zone du cerveau impliquée dans les émotions) est significativement plus développé! Et vous, comment est votre cortex orbital préfrontal ? :-D
Je vous laisse découvrir le reste :
J'ai bien aimé l'infographie en elle-même, super bien réalisée
RépondreSupprimerSuperbe infographie ! Merci pour le partage !
RépondreSupprimerimpact => Masculin
RépondreSupprimerWOW merci Maitre apello... Je ne suis pas une bille en orthographe mais j'avoue que j'ai hésité avant de l'écrire comme ça... Et j'ai choisi la mauvaise option ;-)
Supprimer